Η εν Αποικίοις της Άνδρου γυναικεία μονή της Αγίας Μαρίνης

Abstract

L’a. decrit les ruines de ce grand monastere, fonde, parait-il, au XVIIe s. sur l’emplacement d’une ancienne eglise. L’habitude des families notables de Pile de ne marier que l’ainee de leurs filles et Paine de leurs fils a eu pour consequence la multiplication des couvents, que peuplaient les enfants exclus du mariage. Sous le roi Othon Pautorite fit fermer 428 monasteres sans prendre aucune mesure pour la protection des moines et des religieuses. L’a. donne des renseignements sur les inutiles protestations de ceux-ci, ainsi que deux lettres patriareales qui reconiniandaient au metropolite d’Andros de mettre de l’ordre dans le couvent de Sainte Marine. D’apres quelques notes que l’a. a pu decouvrir, il parait que ce couvent etait tres riche, grace aux donations des jeunes filles qu’il abritait.