Η κηρόχυτος γραφή του Χρυσοστόμου

Προβολή/ Άνοιγμα
Συγγραφέας
Ξυγγόπουλος, ΑνδρέαςΗμερομηνία
1951Γλώσσα
el
Εκδότης
Εταιρεία Βυζαντινών Σπουδών
Λέξη-κλειδί
Βιβλιογραφικά στοιχεία
Επετηρίς Εταιρείας Βυζαντινών Σπουδών, 1951, Έτος ΚΑ', 49-58.
Πρόσβαση
ελεύθερη
Τίτλος περιοδικού
Επετηρίς Εταιρείας Βυζαντινών Σπουδών
Επιτομή
Dans un passage d’une liomelie de S. Jean Chrysostome, lu au
Vile concile oecumenique, il est question d’une icone encaustique qui
representait l’ange du Seigneur exterminant les Assyriens devant Jerusalem,
comme l’avait prophetise Isa’ie au roi Ezechias. Ce sujet iconographique,
extremement rare, se retrouve au debut du XlVe siecle
parmi les fresques de la chapelle adjacente a l’eglise du celebre monastere
de Chora (Kahrie Djami) a Constantinople. Mais la signification
de l’image y est differente. La ville de Jerusalem, qui occupe le fond
de la composition, est une allegorie de la Vierge-Sion. L’identification
de la Mere de Dieu avec Jerusalem-Sion est un lieu commun dans la
theologie byzantine. La composition en question fait partie, dans la
chapelle du monastere de Chora, d’une serie de scenes de l’Aneien
Testament (Echelle de Jacob, Buisson ardent, etc.) prefigurant, selon
les theologiens byzantins, la Vierge Marie. La fresque de Constantinople
est un exemple caracteristique de la reapparition, au temps des
Paleologues, de sujets iconographiques paleo-cliretiens, mais avec une
signification dogmatique differente.